Je m’appelle Jolan Lopes, j’ai 21 ans, je suis étudiant et engagé pour le territoire qui m’a vu grandir : Léognan, à quelques kilomètres de Bordeaux, au cœur d’un patrimoine viticole précieux, vivant et profondément enraciné.

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Ma famille y vit depuis plusieurs générations. C’est là que j’ai appris l’importance de l’effort, de la transmission, du respect de ce que d’autres ont bâti avant nous. Ces valeurs – le sens des responsabilités, la liberté d’entreprendre, le mérite et la solidarité choisie – m’ont été transmises très tôt par mes parents. Elles fondent ma manière de penser l’action publique.

 

Face aux bouleversements du monde – les crises géopolitiques, climatiques, sociales – je reste convaincu que nous avons un devoir : prendre part, agir, proposer. Refuser le fatalisme ambiant pour construire, ici et maintenant, des solutions durables, réalistes et humaines.

 

C’est cette volonté qui m’a conduit à m’investir très tôt dans la vie associative. Loin d’être un simple engagement « de terrain », le monde associatif est pour moi une école d’action concrète, de solidarité active, mais aussi de gestion et de responsabilité. C’est là que j’ai appris à mobiliser, à fédérer, à faire avec peu mais à faire juste. C’est aussi là que j’ai compris que le lien social ne se décrète pas : il se construit, patiemment, par la confiance et la présence. Cet engagement associatif m’a donné une vision claire de ce que vivent les citoyens au quotidien. Il m’a appris à écouter avant de proposer, à agir avant de promettre. Il m’a surtout donné la conviction que le collectif ne nie pas l’individu : il le renforce.

 

C’est pourquoi je crois dans une politique pragmatique, connectée à la réalité, qui réconcilie l’action et la parole. Pour moi, l’échelon local est le plus efficace et le plus juste : parce qu’il permet de répondre concrètement aux besoins, et qu’il donne un visage humain à l’engagement public.

 

Mon attachement à Léognan n’est pas un hasard : c’est une fidélité, mais aussi une ambition. Celle de servir un territoire que je connais, que j’aime, et que je veux voir grandir sans jamais perdre son âme. Celle de concilier tradition et innovation, cohésion sociale et attractivité, liberté individuelle et intérêt général.