J’ai commencé très tôt à agir, notamment dans le monde associatif. Parce que c’est là, sur le terrain, que l’on mesure la vraie portée des mots “solidarité” et “responsabilité”. Dans les associations, j’ai appris à écouter, à fédérer, à mobiliser, à faire avec peu mais à faire juste. J’y ai vu combien le lien social se tisse patiemment, dans la confiance et la présence.

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Et plus j’avançais, plus je me disais : il faut que cet esprit-là, concret, humain, trouve sa place dans l’action publique. Car dans un monde secoué par les crises géopolitiques, climatiques et sociales, je refuse le fatalisme. Je crois que nous avons le devoir d’agir, ici et maintenant, avec réalisme et ambition, pour bâtir des solutions durables.

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Pour moi, c’est à l’échelle locale que tout commence. Parce que c’est là qu’on voit les visages derrière les chiffres, qu’on comprend les besoins derrière les discours. C’est là qu’on peut réconcilier la parole et l’action.

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Mon ambition est simple : servir ce territoire, le faire grandir sans perdre son âme. Concilier tradition et innovation, cohésion sociale et attractivité, liberté individuelle et intérêt général. Faire en sorte que nos territoires reste une terre où l’on vit bien, où chacun trouve sa place, et où l’avenir se construit ensemble, dans la proximité, le dialogue et la fidélité à ce qui nous rassemble.